Contributions de particuliers à la mémoire de la Première Guerre mondiale
En novembre 2013, une soixantaine d’institutions patrimoniales, dont les Archives départementales de Saône-et-Loire ont participé à «La Grande Collecte» de documents personnels sur la Première Guerre mondiale, organisée à l’initiative des Archives de France, de la Bibliothèque nationale de France, de la Mission du centenaire et d'Europeana 1914-1918.
Cet appel, lancé au public afin de valoriser les archives privées de cette époque et de partager ce trésor de mémoire, notamment par une mise en ligne des documents prêtés ou donnés, a connu un vif succès. Que tous les participants soient ici vivement remerciés.
C'est le résultat de cette opération qui est présenté dans cette rubrique.
Une sélection de documents de chaque contributeur est également consultable sur le site www.europeana14-18.eu.
Nous vous invitons également à découvrir un autre exemple de partage et de valorisation de la mémoire locale sur la Première Guerre mondiale à travers l'initiative d'une publication et d'une transcription collaborative du carnet de guerre de Jean Marin, soldat de Saône-et-Loire.
1559 résultats - Nombre de résultats par page :
Genevois, Georges
Lettre du 12 juin 1915 adressée à ses parents indiquant qu'il fait trés chaud à Vignot (Meuse).
Genevois, Georges
Lettre adressée à ses parents le 20 juin 1915 leur indiquant qu'il figure sur la liste des noms travaillant dans la métallurgie mais qu'il à guerre l'espoir d'être demandé.
Genevois, Georges
Lettre du 9 juin 1915, adressée à ses parents indiquant la révision de la classe 17, signalant beaucoup de costauds et rajoutant "espérons qu'il n'iront pas au feu".
Genevois, Georges
Correspondance des armées de la République, carte en franchise adressée à ses parents le 2 juillet 1915, leur signale qu'il attend de leurs nouvelles.
Genevois, Georges
Lettre adressée à ses parents et sa soeur Jeanne le 13 juillet 1915 ou il parle de la bague qu'il a fait en obus du bois d'Ailly. Il signale aussi que le matin même il est passé 25 avions français qui venaient sans doute de faire un bombardement.
Genevois, Georges
Lettre du 3 juillet 1915 à sa soeur Jeanne, lui disant qu'il lui à envoyée une bague.
Genevois, Georges
Lettre du 2 juillet 1915 à ses parents, il mentionne qu'il a parlé du pays avec Mr Croixdessus qui est au 227, heureux de rencontrer des gens de connaissance et qu'il envoie en même temps une bague en alluminium à sa soeur Jeanne.
Genevois, Georges
Album de photographies et de souvenirs confectionnés, après guerre, par Jeanne, la sœur de Georges GENEVOIS : les musiciens du 29e régiment d’infanterie à Vignot dans la Meuse, août 1915 ; Georges GENEVOIS au bois d’Ailly, janvier 1916 ; Trois souvenirs boches, région de Verdun un morceau de toile d'un Fokker abattu (avion "boche"), un Passe d'épaule, 113ème Prussien Mont-Corniller en champagne et un morceau de sac à terre "boche" en papier aux environs de Saint-Quentin en 1918.
Genevois, Georges
Lettre adressée à ses parents le 5 juillet 1915, indiquant qu'ils ont joués à la messe pour les morts du 29e régiment et que de temps en temps il vont joués à Commercy au théâtre qui a le nom de "Poilu's ParK" où ils pratiquent aussi du sport.
Buatois, Claude Antoine
Carte du combattant délivrée le 27 octobre 1935 à Claude Antoine Buatois par l'Office National des mutilés, combattants, et victimes de la guerre de Saône-et-Loire alors qu'il a 60 ans. Il est né de père inconnu le 8 mai 1875 à Frangy (Saône-et-Loire) et de mère agricultrice. Au service militaire en 1896, il a été incorporé au 16e régiment de chasseurs à cheval. Au retour de ses 3 ans de service en 1899, le jeune homme a épousé Marie Guichard. Il a été rappelé en décembre 1914, d'abord à l'intérieur puis au front à partir de décembre 1915, dans l'artillerie. Dans les tranchées, Claude BUATOIS avait fait une tabatière avec une corne de vache, que son arrière petit fils a donnée au musée des combattants et victimes de guerre du Grand Four à Mâcon. Sa petite-fille Gisèle mère du contributeur, qui a vécu dans la ferme familiale avec ses grands-parents jusqu’à ce qu’elle s’installe à Louhans, a le souvenir d'un homme très gentil avec elle. Claude BUATOIS est mort avant 1951.
Buatois, Claude Antoine
Photographie en pied de Claude Buatois : "Souvenir de Saint-Amarin Alsace 1918" , avec une mention de prix : « 170 marks » au dos : Eningen (Bade-Würtemberg), atelier Greiner.
Buatois, Claude Antoine
Livret militaire de Claude Buatois (une page intérieure). Au service militaire en 1896, il a été incorporé au 16e régiment de chasseurs à cheval. Au retour de ses 3 ans de service en 1899, le jeune homme a épousé Marie Guichard. Il a été rappelé en décembre 1914, d'abord à l'intérieur puis au front à partir de décembre 1915, dans l'artillerie.
Epinat, Claudius
Claudius Epinat, né autour de 1898 (lieu et dates précise inconnus)et son épouse Henriette, née en 1901 (lieu inconnu). Claudius EPINAT a été boucher place Saint-Louis à Mâcon (Saône-et-Loire). La boucherie a été reprise par son fils Raymond, qui a pu ouvrir un second magasin à Pont-de-Vaux (Ain) et faisait également des tournées dans les villages. Photographie de Claudius Epinat au milieu d'un groupe de cuisiniers, apparemment devant les cuisines d'une caserne. Tous sont coiffés d'une toque ou d'un calot, et la plupart portent un ustensile de cuisine. Claudius est assis à gauche, une cigarette à la bouche (sans date). Photographie d'un groupe de soldats, la plupart blessés aux yeux, prise à l'extérieur d'un hôpital militaire, avec deux ou médecins (ophtalmologistes), trois religieuses et une infirmière civile. Sans lieu ni date. Affichette imprimée représentant le monument aux morts de la Roche-Vineuse (Saône-et-Loire), titrée "hommage aux morts glorieux de la Grande Guerre - la Roche-Vineuse reconnaissante" et comportant la liste des hommes mors pour la guerre. Photographie du monument aux morts prise par Combier, Mâcon. Sans date, après 1921 (1923 ?).
Epinat, Claudius
Photographie d'une rue décorée. Au centre du décor, placée en haut, une bannière contenant trois cercle et, partant de chaque côté deux banderoles tricolores. Dans la rue, qui longe des magasins on voit, au loin des cyclistes et un groupe de personnes. Sur les trottoirs se trouvent des hommes, des femmes, un enfant. Au verso de la photographie figure l'inscription "Libération. Mme Pelisson et M. Epinat sur le trottoir. Photos prises par M. Pelisson.
Epinat, Claudius
Photographie sur laquelle on voit trois personnages. Le soldat central, plus grand que les deux autres soldats porte un capote plus claire. Derrière eux on distingue des arbres dépourvus de feuilles.
Epinat, Claudius
Photographie de 5 soldats. Deux posent un genou posé au sol devant les trois autres qui sont debout, en second plan. Derrière eux un mur de pierres, des gravats. Le sol est couvert de pierres.
Epinat, Claudius
Partie de photographie sur laquelle on distingue un jeune homme posant au côté du corps d'un mouton posé sur une table. Claudius EPINAT a été boucher place Saint-Louis à Mâcon (Saône-et-Loire).
Epinat, Claudius
Soldat posant en uniforme dans le studio d'un photographe. Portrait en pied, il est accoudé à une demi-colonne blanche, est vêtu d'un uniforme avec fourragère et porte un calot.
Epinat, Claudius
Photographie représentant six soldats au repos dans un lieu arboré. Au premier plan se trouve trois hommes assis par terre, celui du centre à une pipe à la bouche et tient une pancarte de la main droite sur laquelle figure une inscription illisible. En second plan, deux soldats sont assis et un autre est installé sur un lit, les jambes recouvertes d'une couverture.