Contributions de particuliers à la mémoire de la Première Guerre mondiale

En novembre 2013, une soixantaine d’institutions patrimoniales, dont les Archives départementales de Saône-et-Loire ont participé à «La Grande Collecte» de documents personnels sur la Première Guerre mondiale, organisée à l’initiative des Archives de France, de la Bibliothèque nationale de France, de la Mission du centenaire et d'Europeana 1914-1918.

Cet appel, lancé au public afin de valoriser les archives privées de cette époque et de partager ce trésor de mémoire, notamment par une mise en ligne des documents prêtés ou donnés, a connu un vif succès. Que tous les participants soient ici vivement remerciés.
C'est le résultat de cette opération qui est présenté dans cette rubrique.

Une sélection de documents de chaque contributeur est également consultable sur le site www.europeana14-18.eu

Nous vous invitons également à découvrir un autre exemple de partage et de valorisation de la mémoire locale sur la Première Guerre mondiale à travers l'initiative d'une publication et d'une transcription collaborative du carnet de guerre de Jean Marin, soldat de Saône-et-Loire. 
 

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Pain, Pierre

Lettre de Jean, ami de Pierre PAIN. Dans sa lettre, il sait que Pierre PAIN est retourné chez ses parents car il a eu une permission agricole de quinze jours. De son côté, sa permission est en suspend, certainement jusqu'à ce que "la grande bataille de Verdun se soit calmée". Il parle de la vie difficile au combat. Il parle également des conditions climatiques et regrette qu'ils soient "aussi mal cantonné". Il est heureux que Pierre PAIN et ses parents soient en bonne santé. Lui va "assez bien pour le moment" et espère que cette guerre se termine (19 mars 1916).

Pain, Pierre

Carte postale de Jean envoyée à Pierre PAIN. Celle-ci représente la rue Carnot à Montceau-les-Mines. Au verso de la carte postale, Jean explique qu'il est actuellement en "permission de six jours". Il évoque avoir été prévenu la veille. Il exprime la joie d'avoir retrouvé sa famille pour quelques jours (22 avril 1916).

Pain, Pierre

Carte postale envoyée par Pierre PAIN à sa famille. Celle-ci représente la caserne Joubert à Mâcon, "ancien couvent des Carmélites, fondé en 1626, par Madame Chandon, née Guichard de Mezée. Les Carmélites s'y établirent à cette époque, en vertu des lettres patentes qui leur avaient été accordées en 1609 ; les bâtiments de leur couvent ont été affectés à la guerre, en vertu de l'ordonnance du 5 août 1818". Au verso de la carte postale, Pierre PAIN explique à sa famille qu'il s'agit de la caserne où il se situe (12 octobre 1913).


Fontaine, Georges

Licence de pilote-aviateur de la Fédération aéronautique internationale ; tampon sec de l'aéro-club de France ; photographie de Georges Fontaine en tenue militaire (n° brevet 16-903, le 20 juin 1919). Insigne de pilote-aviateur (métal). Licence et insigne ont été collées sur une plaque de velours bordeaux. Georges FONTAINE est né le 13 juin 1897 à Albert (Somme). Après avoir fait l'expérience du front et des tranchées, notamment au Chemin des Dames, il a décidé de devenir aviateur car il pensait qu'il courrait moins de danger dans les airs ! Il est donc parti en 1917 à l'école de pilotes d'Istres (Bouches-du-Rhône) pour y préparer son brevet ; il était alors rattaché au 1er groupe d'aviation. A l'été 1918, il suit les cours de l'école préparatoire des élèves pilotes et mitrailleurs au centre d’aviation de Longvic (Côte-d'Or). C’est un homme qui avait le goût du risque et de l’aventure. Après la guerre en 1920, il a été recruté par une compagnie aérienne qui assurait la liaison Paris-Prague mais ses parents l’ont incité à choisir un autre métier. Georges FONTAINE a donc fait sa carrière à Paris, dans le secteur des transports ferroviaires. En 1947, il a été envoyé par la SNCF dans la Sarre pour reconstruire les infrastructures allemandes. Vers 1950 il a été chargé de l'organisation des chemins de fer du Cameroun, dont il a été secrétaire général ; en 1952, il y a reçu le général De Gaulle. En 1955, en retraite de la SNCF, il s'est installé dans le Midi où il a créé un élevage de poulets qu'il a exploité jusqu'en 1972. En 1985, il a obtenu la médaille militaire pour ses deux citations. Georges FONTAINE est décédé en 1988 à Autun, où résidaient ses enfants.

Fontaine, Georges

Photographie-carte postale de Georges Fontaine aux commandes d'un avion ; au dos, manuscrit : "souvenir de mon grand.... qui m'a (?) été donné le 18 mars 1919". Après avoir fait l'expérience du front et des tranchées, notamment au Chemin des Dames, il a décidé de devenir aviateur car il pensait qu'il courrait moins de danger dans les airs ! Il est donc parti en 1917 à l'école de pilotes d'Istres (Bouches-du-Rhône) pour y préparer son brevet ; il était alors rattaché au 1er groupe d'aviation. A l'été 1918, il suit les cours de l'école préparatoire des élèves pilotes et mitrailleurs au centre d’aviation de Longvic (Côte-d'Or).

Fontaine, Georges

Carte d'identité de Georges Fontaine à l'école préparatoire des élèves pilotes et mitrailleurs du Centre d'aviation de Longvic (Côte-d'Or), délivrée le 10 juillet 1918. Avec photographie. Georges FONTAINE est né le 13 juin 1897 à Albert (Somme). Après avoir fait l'expérience du front et des tranchées, notamment au Chemin des Dames, il a décidé de devenir aviateur car il pensait qu'il courrait moins de danger dans les airs ! Il est donc parti en 1917 à l'école de pilotes d'Istres (Bouches-du-Rhône) pour y préparer son brevet ; il était alors rattaché au 1er groupe d'aviation. A l'été 1918, il suit les cours de l'école préparatoire des élèves pilotes et mitrailleurs au centre d’aviation de Longvic (Côte-d'Or).


Fontaine, Georges

Photographie. Portrait en pied de Georges Fontaine avec casque et boîte à gaz à la ceinture.

Fontaine, Georges

Georges Fontaine est photographié assis sur un cheval.

Fontaine, Georges

Photographie d'un groupe de six soldats en uniforme devant un bâtiment. Trois d'entre eux sont assis sur un cheval de bois, ils sont souriants et semblent s'amuser, le quatrième semble tenir en laisse l'animal. Un des soldats ne revêt pas le traditionnel uniforme avec képi et bottes, il est habillé en blanc. La cote 12 NUM 031/12 est en tout point similaire, seul diffère la présence d'une croix au dessus de Georges Fontaines.


Fontaine, Georges

Photographie. Portrait en pied d'un soldat qui à la main posée sur le dossier d'une chaise. Il est vêtu d'une capote et d'un calot. Derrière lui on aperçoit un tonneau, un mur en pierre sert de fond.

Fontaine, Georges

Photographie d'un groupe de quarante élèves pilotes. Peu nombreux sont ceux en uniforme, certains portent des tabliers, la majorité revêt une tenue claire.

Fontaine, Georges

Portait en pied de Georges Fontaine en uniforme, accoudé à une rambarde. Il se trouve sur une terrasse. On distingue sur son uniforme des galons, à son col figure le numéro du régiment auquel il appartient (11e régiment). En arrière plan on distingue un toit.


Fontaine, Georges

Portrait en pied de Georges Fontaine en uniforme avec casque. A sa ceinture est accroché un étui métallique portant cette inscription "boîte à gaz". Cette dernière devait contenir un masque à gaz.

Fontaine, Georges

Groupe de cinq soldats. Sur la photographie une croix désigne Georges Fontaine. Ce dernier est assis sur une chaise en premier plan au côté d'un autre soldat. En second plan, les trois autres hommes sont debout. Celui du centre porte une barbe et est vêtu d'un manteau de fourrure.

Fontaine, Georges

Photographie d'un groupe de six soldats en uniforme devant un bâtiment. Trois d'entre eux sont assis sur un cheval de bois, celui qui occupe la position centrale doit être Georges Fontaine car une croix a été faite au dessus de sa tête. Ils sont souriants et semblent s'amuser. Un quatrième semble tenir le cheval par un morceau de tissu comme s'il s'agissait d'une laisse. Un des soldats ne revêt pas le traditionnel uniforme avec képi et bottes, il est habillé en blanc. La cote 12 NUM 031/6 est semblable, excepté la croix signalant Georges Fontaine.


Petit, Emile

Photo d'Emile Petit (à gauche) avec un camarade en uniforme, 1914. Emile Petit est originaire de la Creuse vers Bonnat. Emile Petit épouse Marie Bordet, née à Toul en 1893. Ils ont un fils en 1914, Jean, père du contributeur.

Petit, Emile / Bordet Sylvain

Carte postale envoyée de Marbotte (Meuse) à madame veuve Bordet chez madame Emile Petit (sa soeur), le 12 décembre 1914 à Grandsagne par Bonnat(Creuse), ainsi qu'une photographie d'un groupe de la compagnie prise dans une carrière près de l'endroit où se trouve Sylvain Bordet.

Petit, Marie / Petit, Jean / Bordet, Louis

Photographie de Marie Petit née Bordet et son fils Jean en 1914, ainsi qu'une photographie d'une infirmerie auxiliaire sous des tentes en pleine campagne, signée Louis Bordet guerre de 1914.


Thevenoux, Jean

Carte postale adressée à ses frères et soeur en octobre 1915. Photographie de Jean Thevenoud (à gauche), mort à la guerre en 1916, originaire de l'Allier. Sa femme est décédée en 1918, laissant 5 orphelins, dont Pierre Thevenoux, le père de Mme Laroche, recueilli par ses oncles et tantes à Paray-le-Monial, ils ne parlaient pas de la guerre. Pierre (1913-2002) n'a jamais parlé ni de son père ni de sa mère car il était très jeune quand ceux-ci sont décédés. Il fut déclaré pupille de la Nation le 20 décembre 1918, il n'a eu que très peu de contacts avec ses frères et soeurs par la suite car ils ont été recueillis à divers endroits dans la famille. Adulte il habita à La Clayette.

Genevois, Georges

Correspondance à ses parents, le 12 juillet 1915 parlant d'une éventuelle permission. Georges GENEVOIS, soldat musicien est fier d’avoir servi son pays pendant la Première Guerre mondiale. Ce soldat, tour à tour brancardier et saxophoniste à la musique du 29ème régiment d’infanterie, conserva toute sa vie des séquelles respiratoires des gaz auxquels il fut exposé. A propos de la Grande Guerre, il avait coutume de dire à ses proches « la guerre de 40 à côté c’était rien ». Après la guerre, Georges a repris ses activités professionnelles dans le secteur de la métallurgie (notamment à l’usine Coste de Lacanche). Retraité, il fit le choix de s’installer en Saône-et-Loire.

Genevois, Georges

Lettre à ses parents, ou il indique qu'il n'y a rien de spécial ce jour du "14 juillet" 1915.


Genevois, Georges

Lettre adressée à ses parents le 28 juin 1915.

Genevois, Georges

Lettre du 24 juin 1915 à ses parents.

Genevois, Georges

Lettre du 19 août 1915 à ses parents, parlant d'une éventuelle permission.


Genevois, Georges

Lettre écrite de Vignot dans la Meuse, adressée à ses parents le 19 juin 1915.

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