Affichage détaillé (Grande collecte 14 - 18)
Parize, Jean Marie
Poulain, Geneviève
Photographie et arbre généalogique de Jean Marie Parize.
Jean-Marie Parize, né le 14 mai 1896 au Creusot (Saône-et-Loire), classe 1916, matricule 741, recensé au bureau d’Autun. Ses parents sont commerçants à Montcenis. Il meurt au combat de Le Plessier le 5 avril 1918. Incorporé en avril 1915 au 85e puis au 95e Régiment d’Infanterie en décembre, il est affecté au 141e en avril 1916 dans lequel il est promu caporal en juin 1916 et sergent en avril 1917. En mars 1918, il passe au 1er Régiment de Tirailleurs. Il était « fourrier » dans l’intendance et gérait les approvisionnements. La correspondance de Jean-Marie Parize fut conservée dans une malle chez les grands-parents de Mme Poulain, sa petite nièce. Elle l’a récupérée mais n’avait jusqu’à maintenant « pas eu le cœur » de lire les lettres écrites par ce jeune homme qu’elle savait mort au combat. "La Grande Collecte à l’occasion du centenaire a été le déclic pour se plonger dans son histoire" : la contributrice et son mari ont fait tout un travail de lecture, d’indexation et de numérisation des lettres et photos de Jean-Marie Parize. Ils ont été particulièrement touchés par la tendresse qu’il manifestait pour son jeune neveu, Robert Pacaud, né en 1909, qu’il surnomme « Sidi ». Les lettres de Jean-Marie Parize adressées principalement à ses parents s'égrennent de mai 1915 au 5 mars 1918, date de sa dernière lettre.
Jean-Marie Parize, né le 14 mai 1896 au Creusot (Saône-et-Loire), classe 1916, matricule 741, recensé au bureau d’Autun. Ses parents sont commerçants à Montcenis. Il meurt au combat de Le Plessier le 5 avril 1918. Incorporé en avril 1915 au 85e puis au 95e Régiment d’Infanterie en décembre, il est affecté au 141e en avril 1916 dans lequel il est promu caporal en juin 1916 et sergent en avril 1917. En mars 1918, il passe au 1er Régiment de Tirailleurs. Il était « fourrier » dans l’intendance et gérait les approvisionnements. La correspondance de Jean-Marie Parize fut conservée dans une malle chez les grands-parents de Mme Poulain, sa petite nièce. Elle l’a récupérée mais n’avait jusqu’à maintenant « pas eu le cœur » de lire les lettres écrites par ce jeune homme qu’elle savait mort au combat. "La Grande Collecte à l’occasion du centenaire a été le déclic pour se plonger dans son histoire" : la contributrice et son mari ont fait tout un travail de lecture, d’indexation et de numérisation des lettres et photos de Jean-Marie Parize. Ils ont été particulièrement touchés par la tendresse qu’il manifestait pour son jeune neveu, Robert Pacaud, né en 1909, qu’il surnomme « Sidi ». Les lettres de Jean-Marie Parize adressées principalement à ses parents s'égrennent de mai 1915 au 5 mars 1918, date de sa dernière lettre.
Creusot, le (Saône-et-Loire)
Plessier, le (Somme)
soldat, conscription
photographie
Documents prêtés ou donnés lors de l'opération "Grande collecte", 2013 - 2014.
12 NUM 040/1
FRAD071-040 Jean-Marie PARIZE, un jeune oncle mort au combat.