Espace et territoire - - Archives Départementales de Saône-et-Loire

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Cette collection offre un vaste panorama des multiples activités liées aux cours d'eau et canaux (© Coll. Bonnamour).

Ensemble, dépassant les limites de la Saône-et-Loire, de 3381 cartes postales et photographies consacré à la thématique de l'eau donné, en 2010, aux Archives départementales par Louis Bonnamour, ancien conservateur au musée Denon (Chalon-sur-Saône), archéologue réputé et grand spécialiste de la Saône.

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Chalon-sur-Saône. Une platte sur la Saône.

Platte froide, platte chaude.

Chalon-sur-Saône. Une vue sur la Saône.

Emplacement du port à gradins à l'emplacement de l'actuel quai Gambetta (alors quai de la Navigation). Le port à gradins a été remblayé après la dernière guerre mondiale. Devant le quai, une drague à godets fonctionnant à la vapeur.

Chalon-sur-Saône. Une vue sur le petit bras de la Saône.

Le chantier de construction des mines de Blanzy avec cadoles, flûtes et remorqueurs à aubes. A terre, les trois bateaux en construction sont des flûtes.

Chalon-sur-Saône. Une vue sur le petit bras de la Saône.

Chantier des mines de Blanzy, une belle série de cadoles traditionnelles, copies conformes, à quelques détails près (longueur, suppression des arronçoirs), de la maquette de chantier actuellement conservée au musée Denon.

Chalon-sur-Saône. Usine du petit Creusot vue du pont des Dombes.

Chalon-sur-Saône. Usine du petit Creusot.

Chalon-sur-Saône. Usine du petit Creusot. Torpilleurs en construction.

Chalon-sur-Saône. Usine élévatoire.

Le port à gradins de Saint-Laurent et les pompes élévatoires établies à la fin du XIXe siècle à la suite du legs Thévenin, pour subvenir à l'alimentation en eau de Chalon. Nous apercevons une platte froide qui pourrait être celle tenue par Mme veuve Camberlin, propriétaire M. Poitel, platte coulée dans la nuit du 2 février 1902 à la suite de violentes entrées d'eau dues au vent. Une chienne et ses trois petits, qui se trouvaient sur la platte, furent noyés (le Progrès de Saône-et-Loire. du 2 février 1902). La présence de chiens sur les plattes est assez fréquente pour en assurer le gardiennage de nuit.