Florilège et morceaux choisis
Ce cabinet des curiosités présente des documents remarquables par leur intérêt historique, esthétique, insolite, unique...
Répérées dans les 22 kml conservés aux Archives départementales de Saône-et-Loire, ces archives donnent un aperçu, non exhaustif, de la richesse et de la diversité des fonds collectés, depuis la création du service, en 1796.
Cette rubrique s'enrichira régulièrement de nouveaux documents.
Bon voyage à travers plus de 1000 ans d'histoire !
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Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d'Autun.- Diplôme de Charles le Chauve concernant les privilèges de l'église Saint-Nazaire d'Autun.
5 G 4 (1)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Diplôme d'Eudes qui restitue à Lore, sa vassale, l'usufruit de biens revendiqués par Adalgaire, évêque d'Autun, à condition qu'à la mort de ladite Lore, ces biens fassent retour à l'église d'Autun.
5 G 4 (6)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Diplôme de Carloman qui restitue à la prière du comte Richard, la terre de Teigny à l'église et à l'évêque d'Autun.
5 G 4 (5)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Diplôme de Charles le Chauve qui ratifie un échange de biens fait entre Odulgarius et Béliarde sa femme d'une part, et Warin comte de Mâcon, d'autre part.
5 G 4 (2)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Diplôme de Charles le Chauve qui, à la prière d'Adalgaire évêque d'Autun, donne à l'église Saint-Nazaire l'abbaye de Flavigny et Corbigny qui en dépendait.
5 G 4 (3)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Diplôme de Charles le Simple.
5 G 4 (7)
Moyen Age
Fonds du chapitre cathédral Saint-Lazare d’Autun.- Pancarte d'Adalgaire, évêque d'Autun qui énumère différents biens des églises Saint-Nazaire d'Autun et Saint-Andoche de Saulieu et leur en confirme la possession.
5 G 4 (4)
Moyen Age
G 89/37 : Lettre du roi Louis XIV à l'évêque de Mâcon, lui demandant de réduire le nombre des jours chômés afin de concilier le service de Dieu et la subsistance de la population (20 novembre 1666).
Le roi expose que la multiplication des jours pendant lesquels les artisans n'ont pas le droit de travailler les conduit à augmenter leur prix, au détriment de leurs clients. Par ailleurs, les jours de fêtes sont plus souvent occasions de divertissement que de dévotion. Aussi, « pour que Dieu puisse être bien servi et mon peuple soulagé », l'évêque doit diminuer le nombre des jours chômés dans son diocèse.
Près de 30 ans plus tard, en 1714, l'évêque de Mâcon Michel Colbert avance les mêmes arguments avant d'énumérer les journées désormais chômées (G 89/47). Elles ne seront plus qu'au nombre de 28, auxquelles s'ajoutent les lundis et mardi de Pâques et Pentecôte, l’Ascension, le Saint-Sacrement, la journée du saint patron de chaque paroisse et celui de la dédicace des églises du diocèse (8 jours). Soit, en plus des dimanches, 36 jours fériés…l'équivalent de plus de 7 semaines non travaillées !
G 89
Ancien Régime
Guerre d'Espagne.- Souvenirs écrits, à la demande de son institutrice, par Libertad Medon-Navarro, née en 1903 à Saragosse et réfugiée en France à Navilly ; suivis d'une note du sous-préfet de Chalon-sur-Saône.
2 Z 16
Troisième république
Guerre de 1870, Garde nationale mobilisée.- Ayants droit de la médaille commémorative de ce conflit : registre original et liste nominative.
2 R 7
Troisième république
Hôtel Dieu de Mâcon : plan de la charpente du dôme, conservé dans les minutes de Me Joachim Robert, notaire à Mâcon.
3 E 1898
Ancien Régime
Lettre signée de Charles VI, annonçant la prise de Rouen par les Anglais, et demandant des secours en argent, pour qu'il puisse lever une armée et résister aux nouvelles entreprises des ennemis.
C 685 (1)
Moyen Age