Verdun-sur-le-Doubs.

Construction d'une barque de pêche. Découpe des planches de fonçure avec utilisation d'un gabarit. Les joints entre les planches, sont réalisés à l'aide de feutrine enduite de bitume. Pour Georges Paccaud, il est impératif que les planches de fonçure, ou au moins la planche centrale, soit en sapin pour assurer une meilleure étanchéité et une meilleure stabilité à la barque.

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Georges Paccaud, constructeur de barques de pêche, barques à nez pointu, type nagerat, d'une longueur de 4,60 m, a arrêté sa carrière en 1986. Il a succédé à son père qui avait commencé en 1930. Georges Paccaud a construit 2379 barques. Ici, opération de délignage des planches de sapin de la fonçure. Cliché Claude Fagé, février 1990.

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Seconde vue aérienne Chandioux, prise à la même époque mais dans l'autre sens. Au premier plan, le Doubs et le pont National, en direction du sud, le pont suspendu de Bragny. Les aménagements de la plage (1948),n'existent pas.

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Vue aérienne prise par Chandioux vers 1925. Au premier plan, le pont suspendu de Bragny, les installations pour le déchargement et le criblage des matériaux de dragage sur le quai du Doubs, ne semblent pas encore exister.

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Pêcheurs à la ligne au bords de la Saône.

Verdun-sur-le-Doubs.

Au bords de la Saône.

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La pêche à la ligne sur le barrage vers 1960 : «Il est interdit de circuler et de pêcher sur le barrage» !

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Au bords de la Saône.

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Au bords de la Saône.

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Au bords de la Saône.

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Au bord de l'eau, baignade.

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Au bords de la Saône.

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Les tireurs de sable sur le Doubs : trois hommes montés sur une petite bâche de dragage avec cabane arrière et rame-gouvernail. Gravure signée J. Tixier.

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Crue de janvier 1955. La tradition de la passerelle de chars agricoles se perpétue, avec nettement moins d'ampleur cependant qu'en 1910.