Seurre. L'église depuis la Saône.

Seurre. L'île sur la Saône.

Seurre. L'ile sur la Saône.

Seurre. La basse-Saône.

Pointe amont de l'Ile au Boeuf. Au cours du XIXe siècle, le bras de rive droite, non navigable, a été fermé par la mise en place d'une digue transversale submersible destiné à accroître le niveau d'eau le long de la rive gauche (gradins), dans le chenal de navigation. La Saône est ici en chômage, la digue, habituellement couverte d'eau et non visible, constitue l'attraction et un but de promenade dominicale.

Seurre. La petite île et le pont.

Vedettes militaires anglaises de passage sur la Saône. A quelle occasion ?

Seurre. La plage. Le coin des gourmands. Buvette et pâtisserie.

La plage aménagée sur la rive droite (commune de Pouilly), prés de la pointe aval de l'Ile Fourmi (date ? ), constitue un attrait incontestable même si baigneurs et baigneuses restent encore peu nombreux.

Seurre. La plage. Le toboggan.

Seurre. La raie Mignot

Seurre. La raie Mignot et la Saône.

Seurre. La Raie Mignot.

La Raie Mignot actuellement totalement détruite par le creusement de la dérivation Seurre-Pagny et surtout par l'aménagement du Port de Plaisance. La Raie Mignot servait de garage pour les barques de pêche, principalement des barques à nez pointu de type nagerat.

Seurre. La Saône en aval du pont.

Bateau en cours d'éclusage dans la première écluse du canal de Bourgogne. Sur le bord, un tracteur de halage est en attente. Système de halage par tracteurs mis en place en 1923 par la Compagnie générale de traction des voies navigables (CGTVN), qui avait également en charge le toueur de Pouilly.

Seurre. La Saône en aval du pont.

(Le Portail de Pouilly). Installation de dragage devant le chantier de la scierie et du chantier Bonnardot. Prise de plus loin, depuis la rive opposée, la vue 68-29 permet d'avoir une meilleure vision d'ensemble du chantier. Les matériaux sont chargés dans des wagonnets à l'aide d'une grue et acheminés sur le chantier pour servir de remblais. Drague à godets et grue travaillent simultanément ce qui complique la compréhension du système. La drague déverse probablement les matériaux dans une berge où ils sont repris par la grue qui les décharge dans les wagonnets. A noter, en bas à gauche, le personnage monté sur un bachot type «barque du Rhône» qui rame debout. Ceci était assez fréquent sur les barques de service, utilisées pour de petits trajets et souvent dépourvues de bans. Dans le cas présent, nous avons probablement affaire à un dragueur.

Seurre. La Saône en chômage.

Le pont à tablier métallique. Construction Schneider 1867 (cf. L. Gandrey, J.-C. Mallard «Bateaux, ponts métalliques construits aux chantiers Schneider. 1839-1972», UTB, Académie Bourdon 2009, p. 201).

Seurre. La Saône, la grande île.

L'île aux Princes ou la «grande île» avec convoi de bateaux amarrés en longue remorque tirés à la décise, par un remorqueur de la Cie HPLM.

Seurre. La Saône.

La Saône et la pointe amont de la Grande Ile sur laquelle nous apercevons un bâtiment agricole à soubassement de pierre (étable ?), surmonté d'une grange en bois à double auvent, sans doute prévue pour le stockage, hors d'eau, du foin récolté sur l'île.