Saint-Germain-du-Plain. Pont de Thurey.

Construit en 1865. Pont de Thorey. Piles et culées en maçonnerie. Construit en 1865. 5 travées métalliques en arc surbaissé de 34 m d'ouverture chacune (Service Spécial de la Saône. « Tableau des ponts de la Grande Saône », Chalon 1900).

Saint-Germain-du-Plain. Réparation au barrage.

Travaux d'entretien au fond de l'eau sur la passe navigable par deux «pieds lourds», les Thibaud, père et fils. La pompe utilisée, d'un modèle ancien, est une pompe à deux corps dite à balancier ou «à bringuebale», probablement celle qui équipait le barrage au moment de sa mise en service en 1879. Les scaphandriers ne recevaient aucune formation particulière, l'éclusier-barragiste qui souhaitait plonger, avait la possibilité de se former avec ses collègues.

Saint-Germain-du-Plain. Réparation au barrage.

Travaux d'entretien au fond de l'eau sur la passe navigable par deux «pieds lourds», les Thibaud, père et fils. La pompe utilisée, d'un modèle ancien, est une pompe à deux corps dite à balancier ou «à bringuebale», probablement celle qui équipait le barrage au moment de sa mise en service en 1879. Les scaphandriers ne recevaient aucune formation particulière, l'éclusier-barragiste qui souhaitait plonger, avait la possibilité de se former avec ses collègues.

Saint-Germain-du-Plain. Réparation au barrage.

Travaux d'entretien au fond de l'eau sur la passe navigable par deux «pieds lourds», les Thibaud, père et fils. La pompe utilisée, d'un modèle ancien, est une pompe à deux corps dite à balancier ou «à bringuebale», probablement celle qui équipait le barrage au moment de sa mise en service en 1879. Les scaphandriers ne recevaient aucune formation particulière, l'éclusier-barragiste qui souhaitait plonger, avait la possibilité de se former avec ses collègues.

Saint-Germain-du-Plain. Scaphandrier avant la plongée.

Travaux d'entretien au fond de l'eau sur la passe navigable par deux «pieds lourds», les Thibaud, père et fils. La pompe utilisée, d'un modèle ancien, est une pompe à deux corps dite à balancier ou «à bringuebale», probablement celle qui équipait le barrage au moment de sa mise en service en 1879. Les scaphandriers ne recevaient aucune formation particulière, l'éclusier-barragiste qui souhaitait plonger, avait la possibilité de se former avec ses collègues.

Saint-Germain-du-Plain. Scaphandrier avant la plongée.

Saint-Germain-du-Plain. Scaphandrier pendant la plongée.

Travaux d'entretien au fond de l'eau sur la passe navigable par deux «pieds lourds», les Thibaud, père et fils. La pompe utilisée, d'un modèle ancien, est une pompe à deux corps dite à balancier ou «à bringuebale», probablement celle qui équipait le barrage au moment de sa mise en service en 1879. Les scaphandriers ne recevaient aucune formation particulière, l'éclusier-barragiste qui souhaitait plonger, avait la possibilité de se former avec ses collègues.

Saint-Gilles. Quartier du canal.

Saint-Jean-de-Losne et le pont sur la Saône.

Saint-Jean-de-Losne.

Une petite embarcation de tourisme dans la première écluse du canal.

Saint-Jean-de-Losne.

Vue aérienne Chandioux à Verdun en 1928. Au premier plan, le bassin du canal et la gare d'eau, la ville et le pont, la Saône jusqu'à Saint-Symphorien.

Saint-Jean-de-Losne.

Le linguet, bassin de jonction entre la Saône, le canal de Bourgogne et la gare d'eau.

Saint-Jean-de-Losne.

Convoi en calaume remorqué par le Perret-Morin aux couleurs de l'HPLM.

Saint-Jean-de-Losne. Aspect du canal latéral à la Saône pendant un chômage.

La dérivation utilisée comme gare d'eau pendant un chômage. Au premier plan le porteur HPLM Brise. Sur les péniches, toutes avec le grand mât dressé, on a mis en place le pont d'écurie et débarqué les animaux de halage qui profitent de l'occasion pour se reposer et se restaurer sur les talus du canal. On aperçoit également un bachot de service, dépourvu de ban de nage, manoeuvré non pas aux avirons mais à la rame à main.

Saint-Jean-de-Losne. Barrage de la Saône.

Barrage à aiguilles sur la Saône mis en service en 1842.