Cette collection offre un vaste panorama des multiples activités liées aux cours d'eau et canaux (© Coll. Bonnamour).

Ensemble, dépassant les limites de la Saône-et-Loire, de 3381 cartes postales et photographies consacré à la thématique de l'eau donné, en 2010, aux Archives départementales par Louis Bonnamour, ancien conservateur au musée Denon (Chalon-sur-Saône), archéologue réputé et grand spécialiste de la Saône.

En savoir plus

Résultats 2551 à 2565 sur 3381 :   <<<157158159160161162163164165166167168169170171>>>

3381 résultats - Nombre de résultats par page :

Saint-Georges-de-Reneins. La Saône à Port Rivière.

Développement exceptionnel des jonquières en bordure des deux rives de la Saône.


Saint-Georges-de-Reneins. Port Rivière.

Observer le nombre élevé de barques, toutes en bois, et la diversité des types. La troisième, une fourquette, appartient visiblement à un pêcheur professionnel comme l'atteste la présence d'une «rame à main» à côté des avirons, et celle d'un tissu posé sur le plat-bord. Ce détail montre que le bateau était utilisé pour lancer l'épervier, le tissu évitant au pêcheur de glisser au moment du lancer et de risquer de tomber à l'eau.


Saint-Georges-de-Reneins. Port Rivière.

Port Rivière. Sans doute encore le bateau logement de la famille Descroix vu à la carte 20 Fi 1360.

Saint-Georges-de-Reneins. Port Rivière.

En face Port Rivière (Messimy). Jonquière très étendue paraissant se développer sur la rive gauche jusqu'au milieu de la rivière. Ce haut-fond semble avoir correspondu à un habitat de l'âge du Bronze détruit par la drague dans les années 1975. Dans cet herbier, pêcheur sur une fourquette avec quatre enfants. Le pêcheur pourrait être celui que nous voyons poser sur la photo 16-6 avec ses enfants. Sur l'une des photos, le pêcheur tient une rame à main, sur l'autre, un petit carrelet, d'à peine plus d'un mètre de côté, sans doute utilisé pour capturer des vifs utilisés pour appâter des lignes de fond. Ces vifs étaient capturés soit à l'aide de petits carrelets soit avec des «bouteilles à vairons» en verre ou de petites nasses en fil de fer en forme de bouteilles à vairons. A Verjux, le père de M. Boyer, gendre de Léon Bonnardin (tous deux pêcheurs professionnels), avait une grande caisse en bois qui lui servait à entreposer une série d'une cinquantaine de bouteilles à vairons de fabrication artisanale, utilisées pour la capture de vifs. Les bas de ligne utilisés pour équiper les lignes de fond (plusieurs centaines par ligne) étaient fabriqués soit en fil de chanvre soit, plus anciennement en crin de cheval comme ceux récupérés à Verjux.

Saint-Georges-de-Reneins. Port Rivière.

En face Port Rivière (Messimy). Jonquière très étendue paraissant se développer sur la rive gauche jusqu'au milieu de la rivière. Ce haut-fond semble avoir correspondu à un habitat de l'âge du Bronze détruit par la drague dans les années 1975. Dans cet herbier, pêcheur sur une fourquette avec quatre enfants. Le pêcheur pourrait être celui que nous voyons poser, sur la photo 20 FI 1360, avec ses enfants. Sur l'une des photos, le pêcheur tient une rame à main, sur l'autre, un petit carrelet, d'à peine plus d'un mètre de côté, sans doute utilisé pour capturer des vifs utilisés pour appâter des lignes de fond. Ces vifs étaient capturés soit à l'aide de petits carrelets soit avec des «bouteilles à vairons» en verre ou de petites nasses en fil de fer en forme de bouteilles à vairons. A Verjux, le père de M. Boyer, gendre de Léon Bonnardin (tous deux pêcheurs professionnels), avait une grande caisse en bois qui lui servait à entreposer une série d'une cinquantaine de bouteilles à vairons de fabrication artisanale, utilisées pour la capture de vifs. Les bas de ligne utilisés pour équiper les lignes de fond (plusieurs centaines par ligne) étaient fabriqués soit en fil de chanvre soit, plus anciennement en crin de cheval comme ceux récupérés à Verjux.


Saint-Georges-de-Reneins. Port Rivière.

Fourquette avec carrelet. Le système, pour relever le filet, est le même que celui observé sur le Rhône : une perche verticale fixée à l'avant du bateau, supportant une perche transversale mobile. A une extrémité est attaché le carrelet, à l'autre une corde permettant au pêcheur de faire levier sur la barre horizontale pour relever le carrelet. Sur la partie gauche du cliché, on aperçoit l'une des deux tours de la propriété Canard, famille de voituriers sur la Saône et marchands de vins. Voir D. Piot-Jonker «Port Rivière, la famille Canard». Escale à Port Rivière 1998, p.41-51.


Saint-Georges. Port Rivière.

Pêcheur sur sa fourquette, ponton du Parisien tiré à sec. Sur cette photo, on observe la dissymétrie de la fonçure du ponton, le plus grand enfoncement étant au large, ce qui permettait de rapprocher au maximum le ponton de la rive en période d'étiage.

Saint-Georges. Port, rivière.

Nagerat déplacé en bordure de la berge à l'aide de la rame à main.


Résultats 2551 à 2565 sur 3381 :   <<<157158159160161162163164165166167168169170171>>>
Afficher/masquer