Cette collection offre un vaste panorama des multiples activités liées aux cours d'eau et canaux (© Coll. Bonnamour).

Ensemble, dépassant les limites de la Saône-et-Loire, de 3381 cartes postales et photographies consacré à la thématique de l'eau donné, en 2010, aux Archives départementales par Louis Bonnamour, ancien conservateur au musée Denon (Chalon-sur-Saône), archéologue réputé et grand spécialiste de la Saône.

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Port-d'Atelier. Pont sur la Saône.

La flûte à deux raquettes «Edmond», D. 323.F, de la Cie des B.O. de Lyon, compagnie fondée le 14 avril 1867 par le sieur Plasson qui, en 1863, avait lancé les «Mouches», premiers bateaux commerciaux à hélice à avoir navigué sur la Saône.

Port-Lesney. La Loue. L'écluse et le canal du moulin.

La Loue, dont le cours torrentueux n'était pas navigable, n'était que flottable. Elle était en outre barrée par des barrages d'usines pour l'alimentation de moulins, barrages qui pouvaient être franchis à la descente grâce à des écluses ou pertuis. La carte hydrographique du bassin de la Saône (vers 1853-1854), situe à Port-Lesney la limite supérieure du flottage, flottage probablement en radeaux, car le flottage à bûches perdues remontait beaucoup plus haut.


Port-sur-Saône. Bateaux et port.

Flûte Mascaret chargée de fûts, appartenant à la Cie générale de navigation de Lyon antérieurement à sa fusion, en 1894 avec la Cie Havre - Paris - Lyon, donnant ainsi naissance à la Compagnie générale de navigation le Havre - Paris - Lyon - Marseille.


Port-sur-Saône. L'éclusage d'un bateau.

Eclusage d'une péniche tirée manuellement à l'intérieur de l'écluse pour éviter les chocs susceptibles de dégrader les bajoyers. Port-sur-Saône, après Gray, a longtemps marqué la limite supérieure de la navigation de la Saône. En 1834, lors de la création du «service extraordinaire» de la Saône, les ménagements initialement prévus, ne devaient pas dépasser Gray avant d'être rapidement étendus à Port-sur-Saône. Ce n'est qu'après la perte de Eclusage d'une péniche tirée manuellement à l'intérieur de l'écluse pour éviter les chocs susceptibles de dégrader les bajoyers. Port-sur-Saône, après Gray, a longtemps marqué la limite supérieure de la navigation de la Saône. En 1834, lors de la création du «Service extraordinaire» de la Saône, les aménagements initialement prévus, ne devaient pas dépasser Gray avant d'être rapidement étendus à Port-sur-Saône. Ce n'est qu'après la perte de l'Alsace-Lorraine et l'élaboration du projet de création du canal de l'Est, que l'on décidera l'extension des travaux au secteur compris entre Port-sur-Saône et Corre (cf. La Saône navigable. Deux siècles d'aménagements. Presses de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées 2009).


Port-sur-Saône. La Saône en amont.

Péniche à la remonte halée par une courbe de chevaux. On voit nettement sur cette photo que la maillette n'exerce pas l'essentiel de la traction sur le grand mât grâce au « sambiau » qui casse l'effort de traction et le répartit entre les points d'attache arrière (maillette), et avant (sambiau).


Port-sur-Saône. Le canal.

Péniche chargée halée sur la dérivation par une «courbe» de chevaux. La maillette est attachée au petit mât.


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