Pontailler-sur-Saône. Vue générale.

Pontailler-sur-Saône. Vue prise pont Saint-Jean.

Pontailler-sur-Saône. Vue sur la grande Saône.

Un bac qui est sans doute plutôt une grande platte de travail mais dans quel but ? (pont construit en 1875 : travaux d'entretien).

Pontailler. Fête du Paquier du Bois au profit du monument, 12 juin 1921.

Joutes sur la Saône à l'occasion d'une fête organisée le 12 juin 1921 au profit de l'érection d'un monument aux morts de la Grande guerre.

Pontanevaux. La Saône au Port Jean Gras.

Pontanevaux. La Saône au Port Jean Gras.

Pontanevaux. La Saône au Port Jean Gras.

Pontanevaux. La Saône au port Jean-Gras.

Pontanevaux. Port Jean Gras.

Pontanevaux. Port Jean Gras.

Pontanevaux. Restaurant Diot au port Jean Gras.

Pontoux. Bords du Doubs et moulin flottant.

Sur cette carte expédiée en 1916, donc pendant la guerre, le moulin ne fonctionne plus et des mesures de protection ont été prises. Le «forain», celui des deux bateaux qui supportait l'extrémité de l'arbre de la roue, a été recouvert par un abri de même que la roue de façon à écarter les bois flottés susceptibles de provoquer des accidents. L'entretien du barrage n'a pu être maintenu par manque de personnel. De ce fait, après la guerre, le courant ne sera plus suffisant pour faire tourner la roue et le moulin devra être motorisé (témoignage recueilli en 1969 auprès de Marcel Frérot, petit-fils du dernier propriétaire du moulin).

Pontoux. Le Doubs et l'ancien moulin.

Retirage, dans les années 1950, d'un cliché ancien. Le moulin à nefs avec, sur la berge, un tas de pierres utilisées pour recharger le barrage avant la guerre de 1914-1918 (cliché Combier).

Pontoux. Les bords du Doubs.

L'emplacement du moulin photographié quelques années après sa disparition en 1923.

Pontoux. Moulin sur le Doubs.

Le moulin sur bateaux en activité. Exploité par la famille Frérot depuis les environs de 1820, il fut détruit par un incendie en 1923 et fut donc le dernier moulin à nefs en activité sur le Doubs. Il était amarré à la berge à l'aide de 4 ou 5 fortes chaînes et abritait 4 paires de meules dont des meules fines pour les gaudes qui contribuaient à sa réputation. Les pierres que nous voyons sur la berge, servaient à rechausser chaque année, le barrage prenant appui sur les piles du pont romain qui permettait de renforcer la force du courant pour faire tourner la roue motrice. Le cliché que nous voyons ici, a été utilisé par le photographe chalonnais Bourgeois pour un agrandissement colorisé au format 350 x 400, collé sur carton et encadré, qui demeura longtemps dans la famille Frérot (vendu à un brocanteur en 2009).