Montmerle-sur-Saône. Les Minimes.

Dragueurs à main en activité sur de hauts-fonds. Le bateau de dragage appartient au type traditionnel avec cabane arrière et grande rame-gouvernail (sur l'un, on aperçoit le nom de «Petit Pierre»), une barque, de type bachot du Rhône, est systématiquement attachée à la bâche de dragage. Ce bachot permet de rejoindre la berge mais probablement aussi d'effectuer, à la rame, le déplacement de la bâche. Pendant le travail, la bâche est maintenue en place à l'aide de grands piquets, plantés verticalement ou en biais de part et d'autre.

Montmerle-sur-Saône. Les Minimes.

Pont suspendu à deux travées construit en 1833-1834. Cf. M. Brocard, «L'Ain des grands ponts», éditions de la Tour Gile 1993, p.167. En 1862, un bateau à vapeur (un Parisien ?) descendant la Saône, accrocha le tablier provoquant la rupture d'une partie des chaînes qui le retenaient. Les chaînes furent remplacées par des câbles et le tablier surélevé d'un mètre en bordure de la pile centrale.

Montmerle-sur-Saône. Péniches amarrées au quai.

Montmerle-sur-Saône. Un bon coin pour la pêche aux goujons.

Montmerle. Clocher des Minimes.

Montmerle. L'île et le "Parisien".

Montmerle. La culée du pont.

Montmerle. La Saône enchantement des enfants.

Montmerle. Le château.

Dragueurs à main en activité sur de hauts-fonds. Le bateau de dragage appartient au type traditionnel avec cabane arrière et grande rame-gouvernail (sur l'un, on aperçoit le nom de «Petit Pierre»), une barque, de type bachot du Rhône, est systématiquement attachée à la bâche de dragage. Ce bachot permet de rejoindre la berge mais probablement aussi d'effectuer, à la rame, le déplacement de la bâche. Pendant le travail, la bâche est maintenue en place à l'aide de grands piquets, plantés verticalement ou en biais de part et d'autre.

Montmerle. Le pont et les Minimes.

Pont suspendu à deux travées construit en 1833-1834. Cf. M. Brocard, «L'Ain des grands ponts», éditions de la Tour Gile 1993, p.167. En 1862, un bateau à vapeur (un Parisien ?) descendant la Saône, accrocha le tablier provoquant la rupture d'une partie des chaînes qui le retenaient. Les chaînes furent remplacées par des câbles et le tablier surélevé d'un mètre en bordure de la pile centrale.

Montmerle. Le pont, arrivée du "Parisien".

Pont suspendu à deux travées construit en 1833-1834. Cf. M. Brocard, «L'Ain des grands ponts», éditions de la Tour Gile 1993, p.167. En 1862, un bateau à vapeur (un Parisien ?) descendant la Saône, accrocha le tablier provoquant la rupture d'une partie des chaînes qui le retenaient. Les chaînes furent remplacées par des câbles et le tablier surélevé d'un mètre en bordure de la pile centrale.

Montmerle. Le pont.

Montmerle, deux mondes qui se côtoient, les bourgeois et les gens de la Saône. Ici, la brouette équipée d'une corde et la hache posée contre le bateau, nous montrent un homme et son fils (ainsi que leur chien), probablement occupés à récupérer des bois flottés pour le chauffage à l'aide d'une barque qui paraît être une fourquette.

Montmerle. Le pont.

Pont suspendu à deux travées construit en 1833-1834. Cf. M. Brocard, «L'Ain des grands ponts», éditions de la Tour Gile 1993, p.167. En 1862, un bateau à vapeur (un Parisien ?) descendant la Saône, accrocha le tablier provoquant la rupture d'une partie des chaînes qui le retenaient. Les chaînes furent remplacées par des câbles et le tablier surélevé d'un mètre en bordure de la pile centrale.

Montmerle. Le port et le "Parisien".

Montmerle. Le quai de la Saône l'été.

Travail estival d'entretien des perrés par une petite équipe de maçons. Au premier plan, un « abreuvoir » également utilisé pour le chargement ou le déchargement des bateaux.