Gray. Les crues de la Saône.

Gray. Les établissements Millot.

Remorqueur HPLM à la remonte.

Gray. Les établissements Millot.

La vedette à vapeur des Ponts et Chaussées.

Gray. Les fêtes de la Saône au 15 août.

Fête nautique du 15 août (carte expédiée en 1906) à l'amont du pont : le mât de Beaupré.

Gray. Les grand moulins avant l'incendie du 16 janvier 1921.

Gray. Les grands moulins avant l'incendie du 16 janvier 1921.

Gray. Les grands moulins et la Saône.

Rive gauche, à l'aval des grands moulins, le port Mavia. Bateau, sans doute une flûte, chargé de bois de chauffage. Sur le quai, devant les tas de bois en attente, deux brouettes spéciales pour le chargement des bois, identiques à celle rencontrée à Pontailler pour le même usage.

Gray. Les grands moulins.

Gray, les grands moulins détruits par un incendie en 1923. On aperçoit le pertuis qui équipait le barrage fixe. Après la construction de l'écluse en 1792 (première écluse à sas construite sur la Saône), le pertuis a continué à être utilisé par les radeaux ainsi que par les grands bateaux construits à l'amont, notamment sur le Coney et dont la largeur pouvait atteindre 8 à 9 m. Les moulins de Gray étaient les dernières usines hydrauliques construites sur les bords de la Saône supérieure. A l'aval, l'amplitude des crues nécessitait la construction de moulins sur bateaux. On lit dans un manuscrit de l'ingénieur Arnollet conservé aux archives du Rhône (S 1202-1203) et intitulé «Mémoire de l'ingénieur ordinaire Arnollet sur le perfectionnement de la navigation de la Saône du 14 juillet 1809» : «en amont de Verdun, les eaux s'élèvent à 7,50 m au-dessus de l'étiage... à Gray, les grandes crues ne s'élèvent qu'à 3 m environ au-dessus de l'étiage...».

Gray. Les grands moulins.

Gray, les grands moulins détruits par un incendie en 1923. On aperçoit le pertuis qui équipait le barrage fixe. Après la construction de l'écluse en 1792 (première écluse à sas construite sur la Saône), le pertuis a continué à être utilisé par les radeaux ainsi que par les grands bateaux construits à l'amont, notamment sur le Coney et dont la largeur pouvait atteindre 8 à 9 m. Les moulins de Gray étaient les dernières usines hydrauliques construites sur les bords de la Saône supérieure. A l'aval, l'amplitude des crues nécessitait la construction de moulins sur bateaux. On lit dans un manuscrit de l'ingénieur Arnollet conservé aux archives du Rhône (S 1202-1203) et intitulé «Mémoire de l'ingénieur ordinaire Arnollet sur le perfectionnement de la navigation de la Saône du 14 juillet 1809» : «en amont de Verdun, les eaux s'élèvent à 7,50 m au-dessus de l'étiage... à Gray, les grandes crues ne s'élèvent qu'à 3 m environ au-dessus de l'étiage...».

Gray. Les magasins généraux de la Saône.

Gray. Les plaisirs de la pêche.

Pêcheurs à la ligne, rive droite à l'extrémité du port Villeneuve. On aperçoit, à droite, le pont à arches multiples qui enjambe le ruisseau des Ecoulottes. Le pont de pierre a remplacé, dès 1813, un pont de bois (cf. Ch. Godard, «le port de Gray», Bull. Soc. Emulation Grayloise n° 16, 1913, p. 33).

Gray. Les quais de la Saône.

La Saône devant l'écluse et au niveau du port Villeneuve, totalement bloquée par un barrage de péniches au début du XXe siècle.

Gray. Les quais de la Saône.

Péniche chargée à la décise (peut-être remorquée, le grand mât est couché) et, rive gauche, la vedette à vapeur des Ponts et Chaussées. Sur le quai, rive gauche, un marchand de vins en gros, A. Dumont, avec d'impressionnantes rangées de fûts alignés.

Gray. Les quais et le pont suspendu.

La ligne de chemin de fer longeant la rive droite de la Saône, passait sous le tablier du pont suspendu.

Gray. Panorama port Villeneuve et chaussée d'Arc.